Le développement d’artistes a toujours demandé beaucoup de temps et d’argent, mais entre saignées budgétaires, cycles médiatiques raccourcis, IA générative et l’apparition d’artistes artificiel·les, la tentation du court terme s’accélère et pousse à signer des projets qui percent plutôt que de développer des carrières. Est-il encore possible de s’engager sur le temps long ? Faut-il cumuler plusieurs types de droits et de revenus ? Combien cela représente-t-il financièrement ? Quel impact et quelles perspectives pour les artistes de demain ?