Le jeunisme et l’âgisme sont les deux facettes d’une même discrimination basée sur l’âge et l’appartenance à une génération. Les clichés générationnels internalisés par la société se perpétuent à l’échelle de toute la filière musique avec des conséquences sur le choix des artistes signé·es, puis médiatisé·es, les montants investis pour les développer, le temps qu’on leur donne pour percer ainsi que les stratégies marketing et promo mises en oeuvre. A l’heure où l’obsession pour la Gen Z, ses habitudes et son attention, est si répandue/partagée qu’elle ne fait même plus débat, que faire et comment ?