JABBA360 crée, dans une boucle de glitch VHS, des espaces liminaux, vides et abandonnés où s’expriment l’étrange, l’oubli et la solitude.
Dans ces frames intimistes, on entend la nonchalance grunge des guitares saturées, les textures croisées des claviers scintillants, et l’exposition futuriste des kicks réguliers.
Quand on monte dans les nacelles des attractions de ce monde, on avance sur des rails avec appréhension. Alors, on se demande comment on s’évade ?
Avec « Cursed Park Vol. 1 », JABBA360 explore les confins de l’arche de Néo. Matrixé depuis 20 ans sur le dilemme de la pilule rouge ou bleue, on se met au vert, on lâche notre surcharge mentale et on poursuit notre introspection.