Qui croit encore aux comédies romantiques ? ANDÉOL, 25 ans, en cherche la bande-son depuis l’adolescence. Il grandit en se nourrissant de la musique qu’il écoute avec ses amis, chez ses parents ou sur internet. Reflet d’une génération fatiguée des genres, sa playlist fait cohabiter Hamza avec Bjork, Christophe avec PinkPantheress. Comme ceux qu’il écoute, ANDÉOL aime les chansons d’amour qui déraillent. Celles qui disent quelque chose de leurs auteurs et qui racontent leur époque.
Au début de l’année 2025 ANDÉOL dévoile son premier EP, Plus de bisous sur la bouche. À l’image de la pop d’aujourd’hui, il y emprunte autant à la chanson française qu’à la musique électronique. Avec un romantisme autotuné, collé au bitume de sa ville,l’auteur-compositeur-interprète explore les idylles et les cœurs brisés, la fête et la redescente.
C’est aussi une image forte qui est imposée à cette occasion. ANDÉOL et ses amis jouent avec les formats, sans hiérarchie entre le vertical et l’horizontal. Seule règle : ré-enchanter un béton qu’ils ne veulent plus trouver maussade.
Sous l’impulsion du programme RADAR de Spotify, soutenu par les Inrocks, Libération, Nova… ANDÉOL a rempli en quelques heures sa première Boule Noire puis le Point Éphémère cet hiver. De passage aux Bars en Trans, au Chantier des Francofolies ( l’inter-scène des francos), Rock-En-Seine, ANDÉOL se balade, explore, reste planté là puis repart, comme un caillou que l’on découvre, qui devient un trésor au fond de sa poche.
Caillou, c’est justement le nom de son deuxième EP à paraître le 24 octobre.