Elias Dris a 20 ans lorsqu’il s’envole vers la Californie, berceau de la contre-culture américaine et des songwriters qui l’inspirent, pour enregistrer Gold In The Ashes (2017) aux côtés du père et producteur de la chanteuse Alela Diane. Bouquet de folks songs authentiques et sensibles, ce premier album est remarqué pour son étonnante plénitude et l’aisance vocale dont le jeune artiste fait preuve. Beatnik Or Not To Be (2019) confirme les promesses. Ce deuxième disque, plus ample et abouti, lui permet d’enchaîner plus d’une centaine de concerts dans toute la France.
Au fil de ses rencontres avec le public, il peaufine son style et son propre son. Cette étape est aussi pour lui l’occasion d’affirmer l’éclectisme de ses inspirations et de tisser des ponts entre ses influences folk, pop et hip hop. Autant de références bien assimilées qui lui permettent d’innover avec justesse sans renoncer à sa personnalité.