Chahu décrit sa musique comme étant « un doux mélange entre la psytrance et le tango, chansons qui parlent de quand ça va bifbof. » Pour saisir le trait d’humour, il suffit d’écouter. Des chansons pop en contraste, entre profondeur des mots et mélodies entrainantes. Chahu compose d’abord au ukulele (clin d’oeil à la kora que lui présentait Toumani Diabaté), puis l’intègre à des productions plus électroniques, explore, quitte à s’en séparer. Pour les mots, ce sont ses maux. De la fuite en avant, des départs, des débuts, ce que ça fait en-dedans.